1988-1992 : Doctorat en Études juives (« Philologie biblique »), Universités de Turin – Pise – Rome « La Sapienza » – Venise, sous la direction de Paolo Sacchi.
1989-1992 : Élève de l’EPHE, section des Sciences religieuses, Paris.
1981-1987 : Maîtrise de Lettres classiques à l’Université de Florence en « Langues et littératures éthiopiennes », sous la direction de Paolo Marrassini.
Depuis 2017 : Directeur d’études titulaire de la chaire « Origines du christianisme ».
2013 : Directeur d’études invité.
1994-1995 : Chargé de cours.
1993 : Directeur d’études invité.
Depuis 2006 : Professeur titulaire, Université d’Ottawa, Faculté des Arts, département d’Études anciennes et Sciences des religions.
2006-2012 : Directeur du département d’Études anciennes et Sciences des religions, Faculté des Arts, Université d’Ottawa.
2001-2006 : Professeur agrégé, Université d’Ottawa, Faculté des Arts, département d’Études anciennes et Sciences des religions.
1999-2001 : Professeur adjoint, Université d’Ottawa, Faculté des Arts, département d’Études anciennes et Sciences des religions.
1999 : Chargé de cours, Université de Lausanne, Faculté de théologie.
1998-1999 : Chargé de cours, Institut catholique, École des langues et civilisations de l’Orient ancien, Paris.
1996-1999 : Assistant diplômé, Université de Lausanne, Faculté de théologie, Institut romand des sciences bibliques.
1995 : Conférencier, Université Inter-âges, Paris.
1993-1995 : Chargé de cours, Institut catholique, Faculté des Lettres, Paris.
1993-1994 : Conférencier, Institut catholique, Institut de recherche sur l’Orient chrétien, Paris.
1993 : Chargé de cours, CNRS Formation, Académie de langues anciennes de Saintes.
Historien et philologue de formation, Pierluigi Piovanelli s’intéresse principalement à l’histoire du judaïsme du Second Temple et des origines du christianisme, au Jésus historique en tant que mystique judéen du Ier siècle de notre ère, aux textes scripturaires anciens et tardo-antiques (y compris les écrits dits « apocryphes »), à l’histoire et à la culture éthiopiennes.
Livres
• (dir., avec T. Burke), Rediscovering the Apocryphal Continent : New Perspectives on Early Christian and Late Antique Apocryphal Texts and Traditions, Tübingen: Mohr Siebeck, 2015, xiii+439 p.
• Apocryphités. Études sur les textes et les traditions scripturaires du judaïsme et du christianisme anciens, Turnhout : Brepols, 2016, 568 p.
• From the Gospel of Thomas to the Book of the Rooster and Beyond : Studies on Christian Apocryphal Texts in the Long Term, Tübingen : Mohr Siebeck (en préparation, ca. 400 p.).
Articles récents
• « Jésus de Nazareth et l’archéologie de la Galilée. Quelques réflexions d’un historien », Théologiques 21 (2013), p. 149-165.
• « From Enoch to Seth : Primeval Patrons in Jewish-Apocalyptic and Christian-Gnostic Traditions », Judaïsme ancien / Ancient Judaism 2 (2014), p. 79-112.
• « Odio humani generis. Apocalypticiens messianistes et historiens intégrés à l’époque des Guerres des Judéens », Laval théologique et philosophique 70 (2014), p. 459-474.
• « The Story of the Passion of Christ : A New Ethiopic Apocryphon Attributed to Salome, Elizabeth, and Mary of Magdala », dans A. Bausi – A. Gori – G. Lusini (éd.), Linguistic, Oriental and Ethiopian Studies in Memory ofPaolo Marrassini, Wiesbaden : Harrassowitz, 2014, p. 607-627.
• « Scriptural Trajectories Through Early Christianity, Late Antiquity, and Beyond : Christian Memorial Traditions in the longue durée », dans T. Burke – B. Landau (éd.), Forbidden Texts on the Western Frontier : The Christian Apocrypha in North American Perspectives, Eugene (Or.) : Cascade Books, 2015, p. 95-110.
• « Katabaseis orphico-pythagoriciennes ou Tours of Hell apocalyptiques juifs ? La fausse alternative posée par typologie des péchés et des châtiments dans l’Apocalypse de Pierre », Les Études classiques 83 (2015), p. 397-414.
• « “A Door into an Alien World” : Reading the Ascension of Isaiahas a Jewish Mystical Text », dans J. N. Bremmer – T. R. Karmann – T. Nicklas (ed.), The Ascension of Isaiah, Leuven, Peeters, 2016, p. 119-144.
• « Pratiques rituelles ou exégèse scripturaire ? Origines et nature de la mystique de la Merkava », dans S. C. Mimouni – M. Scopello (éd.), Mystique théorétique et théurgique dans la littérature juive d’époque hellénistique et romaine, Turnhout : Brepols 2016, p. 281-302.
• « “S’il n’y a pas de patriarche, il ne doit pas se lever, même devant le sanhédrin”. L’apothéose du yored Merkava au Ve siècle de notre ère », dans S. C. Mimouni – L. Painchaud (éd.), La question de la « sacerdotalisation » dans le judaïsme synagogal, le christianisme et le rabbinisme, Turnhout : Brepols, 2018, p. 143-165.